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Commission nationale des droits de l’homme et des libertés

Cameroun : Séquestration du journaliste Paul Chouta : Un collectif d’ONG écrit au ministre de la Justice
Alors que Paul Chouta fait partie des 250 journalistes incarcérés à travers le monde selon un classement établi par l’organisme américain Comité de Protection des Journalistes le 11 décembre dernier, un collectif d’ONG et d’activistes camerounais vient de saisir le ministre de la Justice, Laurent Esso ainsi que la Commission Nationale des Droits de l’Homme et des Libertés (CNDHL) sur la situation du journaliste de Cameroonweb, détenu à la prison centrale de Yaoundé depuis fin mai dernier. Ci-dessous, l’intégralité de la correspondance :

Cameroun : Présidentielle 2018 : La Commission nationale des droits de l’homme appelle à la préservation de la paix post-électorale
Dans une déclaration parvenue à la rédaction de votre journal, l’instance pro-gouvernementale de protection et de promotion des droits de l’homme se félicite du climat de paix qui a prévalu lors des élections ainsi que de l’instauration des bulletins de vote pour déficients visuels.

Guerre d’indépendance : La Commission nationale des droits de l’homme reconnaît-elle la présence des milices gouvernementales dans le Southern Cameroon ?
L’instance gouvernementale de promotion et de protection des droits de l’homme s’est également félicitée de la réouverture des écoles dans l’Extrême-Nord malgré la persistance des attaques de la secte islamiste Boko Haram. C’était dans un communiqué rendu public le 26 septembre dernier à l’issue de la réunion mensuelle des présidents et rapporteurs des sous-commissions de la Commission.

Cameroun : Fête du travail : Les entreprises à l’école des droits de l’homme
A l’occasion de la fête internationale du travail qui s’est célébré le 1er mai dernier, la Commission nationale des droits de l’homme et des libertés a organisé une série d’activités avec des entreprises couronnée par un atelier organisé ce 2 mai à Yaoundé axé sur le dialogue social au sein des entreprises.

Cameroun : Défense des droits humains : La CNDHL s’installe à l’Extrême-Nord
La Commission nationale des droits de l’homme et des libertés a procédé le 25 avril dernier à Maroua, capitale régionale de l’Extrême-Nord, à l’inauguration de son antenne régionale. Il est question pour l’instance gouvernementale de protection et de promotion des droits humains d’être plus proche de cette région en proie aux attaques de la secte islamiste Boko Haram.

Cameroun : Crise anglophone : La CNDHL condamne l’assassinat des militaires
L’institution étatique en charge de promouvoir et de protéger les droits de l’homme invite le gouvernement à ouvrir une enquête en vue d’identifier et de sanctionner les auteurs.

Cameroun : Crise anglophone : La CNDHL accuse les contestataires de violer le droit à l’éducation
Dans un communiqué rendu public le 9 juin dernier, la Commission nationale des droits de l’homme et des libertés (Cndhl) condamne l’agression d’une jeune élève à Bamenda alors qu’elle allait passer les examens de fin d’année.

Cameroun : Chemuta Divine Banda : « Le fédéralisme n’est pas un frein au développement »*
Dans une tribune libre, le président de la Commission nationale des droits de l’homme et des libertés et anglophone d’origine est favorable au retour au fédéralisme mais de 10 Etats.

Cameroun : Lutte contre Boko Haram : La CNDHL s’associe aux observations d’Amnesty International
D’après la Commission nationale des droits de l’homme et des libertés (Cndhl), le rapport d’Amnesty International sur la lutte contre le terrorisme à l’Extrême-Nord rendu public en mi-juillet dernier à Yaoundé revient sur des faits déjà relevé l’année dernière dans son rapport annuel sur l’état des droits de l’homme au Cameroun. Toutefois, la Cndhl dément l’information sur les cas de disparitions forcées allégués par l’ONG internationale.

Cameroun : Politique inclusive : L’Etat ne veut rien faire pour les handicapés
Au cours d’une conférence de presse ce jeudi 17 décembre à Yaoundé, la plate-forme regroupant des personnes frappées d’invalidité a dénoncé la négation par le gouvernement camerounais de tous les droits politiques, sociaux et économiques.